â créé le Ă 22h07 â La rĂ©daction Ă Photos â deux mannequins sâaffichent sans culotte Ă la Mostra de Venise Dans la mĂȘme catĂ©gorie Les mannequins Giulia Salemi et Dayane Mello ont créé la sensation sur le tapis rouge de la Mostra de Venise en portant des robes qui laissaient âtoutâ apparaitre ou presque. Lors de la prĂ©sentation du film âThe Young Popeâ avec Jude Law, le mannequin Italien Giulia Salemi Ă©tait habillĂ©e dâune longue robe trĂšs fendue, laissant apparaĂźtre sa ⊠jambe. Idem pour le modĂšle BrĂ©silien Dayane Mello. Les deux jeunes femmes nâont pas rĂ©ellement fait lâunanimitĂ© sur le tapis rouge, certains pensant quâelles Ă©taient trop vulgaires. Selon Figaro, les deux amazones nâont pas enfilĂ© ces tenues pour crĂ©er le buzz, mais pour soutenir un ami styliste, Matteo Evandro Manzini. Giulia Salemi explique sur Instagram "Je suis venue Ă Venise pour soutenir mon ami designer en portant une de ses crĂ©ations sur le tapis rouge". Vos avis ? Voir notre dossier mode surMariaSharapova Joue Au Tennis Sans Culotte. 10:01. 10:01 Hot Blonde (Lana Sharapova) Let (Jill Kassidy) To Massage Lick_Her Pussy - SweetHeartVideo. lesbickĂ©, lesbickĂ© lĂzĂĄnĂ piÄi, lesbickĂ© zadok jesĆ„, blondĂnka zadok. 06:15. 06:15 Lana Sharapova oiled double_penetration. naolejovanĂ©, dvakrĂĄt striekanie, tvĂĄre cum. 06:14. 06:14 Lesbian
Ma femme voulait depuis longtemps que nous allions dans l'un des derniers vĂ©ritables cinĂ©mas pornographiques de notre ville et j'ai finalement acceptĂ©. Je ne savais pas trop Ă quoi m'attendre, mais j'Ă©tais presque sĂ»r qu'elle voulait frimer devant les clients du théùtre, ce qui, je dois l'admettre, m'a excitĂ© mais j'Ă©tais aussi un peu nerveux. Elle s'habillait un peu grunge, une vieille chemise en flanelle avec quelques trous et un ou deux boutons manquants, pas de soutien-gorge, un vieux jean usĂ© et des chaussures de tennis. J'ai adorĂ© la chemise parce que les trous et les espaces stratĂ©giques qu'elle crĂ©ait permettaient d'entrevoir assez bien ses seins nus. Quand nous sommes arrivĂ©s, nous nous sommes garĂ©s prĂšs d'un feu dans le parking et je lui ai fait un petit discours d'encouragement et j'ai commencĂ© Ă caresser ses seins en lui disant combien elle Ă©tait sexy. Nous nous sommes vite pelotĂ©s dans notre voiture comme des adolescents et mes mains avaient dĂ©boutonnĂ© tous les boutons de sa chemise et j'aspirais ses tĂ©tons en un rien de temps. Elle avait chaud et elle a baissĂ© un peu le dossier de son siĂšge, ce qui m'a donnĂ© un peu plus de libertĂ© pour dĂ©boutonner son jean et commencer Ă doigter sa chatte humide. Il n'est pas surprenant que nous ayons bientĂŽt eu un public d'un voyeur qui regardait par la fenĂȘtre. J'en ai parlĂ© Ă ma femme, qui a levĂ© les yeux, souri au type et a reculĂ© un peu pour qu'il puisse mieux voir ses seins nus. J'ai alors pris mon doigt dans sa chatte et l'ai amenĂ© jusqu'Ă ses lĂšvres pour qu'elle puisse le sucer proprement et j'ai suggĂ©rĂ© qu'elle donne un spectacle Ă notre nouvel ami mateur et voyeur. Elle a baissĂ© son pantalon et sa culotte pour lui montrer sa chatte et j'ai aidĂ© Ă faire glisser son pantalon sur ses genoux, ce qui lui a permis d'Ă©carter un peu les jambes. J'ai commencĂ© Ă lui serrer le mamelon d'une main et Ă doigter sa chatte mouillĂ©e et dĂ©goulinante de l'autre. J'ai ensuite amenĂ© mon doigt jusqu'Ă la bouche de ma femme pour la sucer et elle a commencĂ© Ă jouer avec ses deux seins pendant que je jouais avec sa chatte. Le voyeur avait la bite Ă l'air et la battait furieusement jusqu'Ă ce que je l'entende grogner et qu'il tire sa liasse sur toute notre fenĂȘtre et l'enduise de sa bite. Ma femme s'est sentie Ă la fois radine et sexy, sachant que ce type Ă©tait venu la regarder nue. J'ai baissĂ© la fenĂȘtre et j'ai demandĂ© au gars s'il avait apprĂ©ciĂ© le spectacle. Il a dit oui, a passĂ© sa main Ă travers la fenĂȘtre et l'a fait courir sur son ventre nu, jusqu'Ă sa chatte et sur ses jambes. Il nous a ensuite remerciĂ©s, a remontĂ© sa fermeture Ă©clair et est allĂ© Ă sa voiture. Nous Ă©tions tous les deux prĂȘts, maintenant, pour le théùtre. Ma femme s'est rendue prĂ©sentable, mais n'a boutonnĂ© que deux des boutons de sa chemise. Nous sommes entrĂ©s pour acheter des billets et le directeur nous a regardĂ©s et a souri un peu, en nous disant qu'il y avait une section rĂ©servĂ©e aux couples sur les six derniĂšres rangĂ©es du cĂŽtĂ© gauche. Nous l'avons remerciĂ© et nous sommes entrĂ©s, debout Ă la porte pendant que nos yeux s'ajustaient Ă l'obscuritĂ©. Alors que mes yeux s'ajustaient, j'ai remarquĂ© qu'il y avait des hommes cĂ©libataires Ă©parpillĂ©s dans le théùtre et quelques-uns qui se tenaient contre le mur du fond. Certains hommes Ă©taient debout ou assis ensemble, en train de branler ou de sucer leur partenaire. Ma femme semblait ĂȘtre la seule femme prĂ©sente. Nous sommes allĂ©s Ă la premiĂšre rangĂ©e de la section rĂ©servĂ©e aux couples. Il y avait un assez bon Ă©cart entre elle et la rangĂ©e de siĂšges suivante. J'ai pris trois siĂšges et j'ai fait asseoir ma femme sur le deuxiĂšme siĂšge pour que les hommes puissent la voir quand ils marchaient dans l'allĂ©e. Pendant que nous regardions le film, j'ai commencĂ© Ă jouer avec ses seins Ă travers sa chemise, Ă lui pincer les tĂ©tons et peu aprĂšs, nous nous sommes embrassĂ©s furieusement. Elle a dĂ©boutonnĂ© sa chemise et je l'ai repoussĂ©e dans son siĂšge pour que les autres hommes puissent voir ses seins souples avec leurs tĂ©tons durs comme le roc. Les gars ont commencĂ© Ă monter et descendre l'allĂ©e pour mieux nous voir et deux d'entre eux se sont assis dans la rangĂ©e devant nous, sans prendre la peine de regarder le film, ils nous regardaient ouvertement nous embrasser. Ma femme, qui devenait chaude et excitĂ©e, m'a attrapĂ© la bite dans le pantalon. Elle a complĂštement enlevĂ© sa chemise et me l'a tendue, a ouvert mon pantalon et a libĂ©rĂ© ma bite dure comme le roc. Ma bite n'est pas trĂšs longue mais elle est Ă©paisse et la tĂȘte est si lisse. Ma femme aimait faire courir ses lĂšvres sur la tĂȘte gĂ©ante. Le fait qu'elle se soit retrouvĂ©e torse nu, tout en Ă©tant observĂ©e par des Ă©trangers, en faisait une aventure. J'Ă©tais sur le point d'Ă©jaculer, mais je ne voulais pas encore le faire, alors elle a enlevĂ© sa main de ma bite et lui a dit de jouer avec ses seins et ses tĂ©tons. Je n'ai pas pu me retenir longtemps et bientĂŽt mes mains et ma bouche ont rejoint ses mains en frottant, tordant, lĂ©chant et suçant ses seins doux et ses mamelons durs. BientĂŽt, elle s'est penchĂ©e en arriĂšre sur son siĂšge, les yeux fermĂ©s, en apprĂ©ciant les sensations qui l'envahissaient. Je voyais bien qu'elle ne se contentait pas de jouer avec ses seins et j'ai commencĂ© Ă dĂ©boutonner son jean et Ă le baisser. Elle m'a aidĂ©, et mon Ă©pouse est devenue si chaude qu'elle a commencĂ© Ă chuchoter qu'elle voulait se faire baiser et aimait l'idĂ©e d'ĂȘtre nue devant une bande d'Ă©trangers. Ma femme a enlevĂ© ses chaussures, mais nous n'avons pu descendre son pantalon que jusqu'aux chevilles. J'ai recommencĂ© Ă l'embrasser et je l'ai tirĂ©e vers moi. Cela a exposĂ© son cul Ă ces Ă©tranges regards et j'ai enfoncĂ© ma langue dans sa gorge tout en lui caressant les seins et le cul. Ma femme a sautĂ© quand elle a senti une autre paire de mains sur ses jambes nues et a remarquĂ© que quelqu'un s'Ă©tait glissĂ© dans le siĂšge Ă cĂŽtĂ© d'elle. J'avais fait signe au jeune homme de la rangĂ©e devant nous de s'asseoir sur ce siĂšge et il s'est rapidement exĂ©cutĂ©. J'ai interrompu le baiser et j'ai dit Ă ma femme de rester assise. J'ai regardĂ© l'Ă©tranger, puis sa main qui remontait le long de sa cuisse, sur ses hanches et son ventre, et j'ai commencĂ© Ă caresser doucement un de ses seins. Elle a fermĂ© les yeux et semblait apprĂ©cier la sensation tandis que j'en profitais pour lui enlever complĂštement son pantalon et sa culotte. L'Ă©tranger a remplacĂ© sa main par sa bouche sur son mamelon et a dĂ©placĂ© sa main vers sa chatte. Ma femme a Ă©cartĂ© ses jambes pour lui permettre d'y accĂ©der et il a massĂ© sa chatte et son clitoris de façon experte jusqu'Ă ce qu'elle crie Ă l'orgasme. Elle a tenu sa main sur sa chatte et l'a sautĂ©e furieusement. Lorsque son orgasme s'est calmĂ©, je lui ai tendu une capote. Notre nouvel ami s'est levĂ©, a ouvert son pantalon et elle l'a aidĂ© Ă le baisser, a pris le caoutchouc et l'a glissĂ© sur le bout de sa bite engorgĂ©e et l'a fait descendre avec sa bouche. C'Ă©tait difficile de le faire avec sa seule bouche, car sa bite mesurait environ 15 cm de long et Ă©tait presque aussi Ă©paisse que la mienne. Elle a fait de son mieux avec sa pipe. Je savais qu'elle n'avait pas sucĂ© une bite enrobĂ©e de caoutchouc depuis trĂšs longtemps et qu'elle prĂ©fĂ©rait la sensation d'une bite nue dans sa bouche. Mais elle l'a gardĂ© dur. Ce que ma femme voulait vraiment, c'Ă©tait baiser, alors elle s'est levĂ©e et s'est penchĂ©e sur son siĂšge, ce qui a permis Ă notre voyeur d'accĂ©der Ă sa chatte par l'arriĂšre. Il n'a pas perdu de temps pour se positionner derriĂšre elle et guider sa bite Ă l'intĂ©rieur. C'est alors que j'ai remarquĂ© qu'il y avait des hommes assis ou debout tout autour de nous, y compris le manager. J'ai grimpĂ© sur mon siĂšge, baissĂ© mon pantalon et positionnĂ© ma bite engorgĂ©e prĂšs de la bouche de ma femme. Elle l'a aspirĂ©e avec empressement. Notre ami est entrĂ© et sorti lentement, en augmentant la vitesse jusqu'Ă ce qu'il ait envie de jouir. Il a commencĂ© Ă ĂȘtre plus vigoureux et, d'aprĂšs les sons que ma femme faisait avec sa bouche enroulĂ©e autour de ma bite, je pouvais dire qu'un autre orgasme se prĂ©parait en elle. Il l'a saisie par les hanches et, d'une derniĂšre poussĂ©e, il a criĂ© et a tirĂ© sa charge Ă l'intĂ©rieur d'elle. Cela l'a fait descendre aussi, en faisant plus de bruit que ce qui Ă©tait Ă l'Ă©cran. Mais elle a continuĂ© Ă me sucer et bientĂŽt, un peu de mon sperme lui a coulĂ© dans la gorge. Avant que nous ayons pu le remercier, notre ami a remontĂ© sa fermeture Ă©clair et a disparu dans le hall. J'ai rassemblĂ© les vĂȘtements de ma femme et l'ai escortĂ©e nue dans l'allĂ©e, dans le hall et jusqu'Ă la chambre de la dame oĂč je lui ai rendu ses vĂȘtements pour qu'elle puisse s'habiller. Nous sommes partis et sommes rentrĂ©s chez nous, oĂč nous avons eu l'une des sĂ©ances de baise les plus chaudes que nous ayons jamais eues. Nous n'avons jamais rĂ©pĂ©tĂ© cette soirĂ©e au théùtre, mais nous avons vĂ©cu des aventures similaires, chacune devenant un peu plus risquĂ©e.
Affairesde gars a donc eu envie de vous présenter son top 10 des plus belles joueuses de tennis. Non seulement elles sont ultra talentueuses dans leur sport, mais en plus, disons qu'elles ont d'autres atouts. Pour des plans culs rapides prÚs de chez vous, avec des membres coquins et sans tabou, rendez-vous sur Jacquie et Michel en cliquant
Je dois une fiĂšre chandelle Ă ma belle-mĂšre. Peut-ĂȘtre a-t-elle sauvĂ© mon mĂ©nage. C'eĂ»t Ă©tĂ© trop triste que tout cela fut soldĂ© par un divorce et fracassĂąt l'enfance de mes deux gosses innocents. J'ai Ă ce jour atteint aux vingt ans de mariage et cela m'a fait drĂŽle d'aller visiter hier cette vieille dame avec ma femme dans sa maison de retraite, J'avais un peu le rouge de la honte au front. Il n'est pas sĂ»r qu'en ses souvenirs cette personne eut pu communier avec les miens. D'aucuns trouveront scandaleux que j'ai pu coucher avec ma belle-mĂšre. Les autres se moqueront du goĂ»t invĂ©tĂ©rĂ© que j'eus pour ce beau morceau si plantureux alors. A l'Ă©poque rien ne me prĂ©destinait Ă une pareille liaison. J'avais une prĂ©dilection plutĂŽt pour la nymphette. Ma femme Ă©tait en lâoccurrence gracile et blonde ce Ă quoi s'opposait sa mĂšre brune et charnue. De ce paradoxe vivant nous avions ri souvent en famille. La mĂšre et la fille Ă cet Ă©gard s'Ă©taient toujours dĂ©testĂ©es. Aujourd'hui je rentre mieux dans les raisons profondes de ce dissensus. Ma belle-mĂšre avait gĂ©nĂ©reusement cocufiĂ© le papa de ma femme ce dont celle-ci lui faisait un grief lĂ©gitime. A plus de cinquante ans et grand-mĂšre deux fois celle-ci ne semblait pas vouloir renoncer Ă ses vices. L'Ăąge aggravant les vertus et les vices. D'abord cela commença par du jeu. Au jour du mariage elle me conta qu'elle me trouvait Ă son goĂ»t. Je savais de sa fille qu'un de ces derniers amants avait Ă©tĂ© un jeune footballeur de 23 ans. Elle ne cachait pas que la vigueur et le coup de rein Ă©taient des critĂšres premiers. Elle percevait sa fille comme peu vaillante et renĂąclant au lit, Les poupĂ©es de porcelaine disait-elle en riant ne rĂ©chauffent guĂšre une couche. En ce temps j'Ă©tais assez amoureux et encore sous le charme subtil de ma poupĂ©e. Je cĂ©dais Ă l'amour propre que d'avoir Ă©pousĂ© la plus jolie fille du pays, L'envie des autres suffisait Ă mon bonheur. Je ne trouvais pas un inconvĂ©nient d'ĂȘtre frustrĂ© au pieu. Tout commença Ă se gĂąter dĂšs le premier enfant. On eĂ»t dit que ma belle n'attendait que cela pour justifier ses grĂšves rĂ©itĂ©rĂ©es au plumard. La belle-mĂšre surpris un soir notre dispute sur le sujet, Cela validait ses intuitions, Elle affecta de prendre le parti de sa fille et me conseilla de m'armer de patience et d'indulgence. Elle m'abjura de ne pas imiter d'autres sagouins en allant voir ailleurs. Elle m'invitait Ă taper plutĂŽt le ballon et d'y soulager mon feu et ma libido. Elle dĂ©blatĂ©rĂąt cela sur un ton presque ironique et qui semblait allĂ©guer du contraire. Elle rajouta que si j'avais voulu une femme plus cochonne il eĂ»t fallu choisir une autre que sa fille. Je n'avais qu'Ă m'en prendre Ă moi-mĂȘme. Le sexe en ce temps me montait Ă la tĂȘte, J'avais la plus belle femme du monde et en Ă©tait rĂ©duit Ă la branlette tel un vulgaire ado. Pendant ce temps-lĂ je percevais que la belle-mĂšre sur ce plan Ă©tait des plus Ă©panouies. Je ne sais si ce fut le fait du hasard. Un samedi aprĂšs-midi tandis que le beau pĂšre et ma femme Ă©taient aux magasins, je somnolais dans ma chambre attendant 17H00 oĂč j'avais rendez-vous pour une partie de tennis. J'entendais la tĂ©lĂ© au loin. Je savais ma belle-mĂšre fĂ©rue de feuilletons idiots, Elle avait dĂ©clinĂ© pour cela de suivre les deux autres. Peut-ĂȘtre avait-elle cru que j'Ă©tais de l'Ă©quipĂ©e et quâelle Ă©tait seule. Ainsi entendis-je une voix qui ne venait point de la tĂ©lĂ©. Je me levais du coup et me glissais dans un angle du couloir pour voir. Un type montait l'escalier en haut duquel l'attendait la garce. Je sursautais car celle-ci Ă©tait en nuisette Ă pareille heure. Je ne lâavais jamais vu en pareille tenue. On voyait Ă travers, Elle avait moult graisse et un cul Ă©norme et des nichons qui pendaient. Quel tas me dis-je ! Comment pouvait-on sauter cela ? Le type manifestement Ă©tait venu pour cela. C'Ă©tait un mĂŽme gringalet que je n'avais jamais vu. Je lui donnais Ă peine vingt ans. Elle lui en rendait trente et faisait deux fois son poids au moins. C'Ă©tait bonnement grotesque. Je fus tentĂ© de m'Ă©clipser et de les laisser. Cela ne me regardait pas. Ainsi-crus-je devoir me rallonger et de retrouver le sommeil. Je tenais Ă faire bonne figure au tennis. A cĂŽtĂ© on avait Ă©teint la tĂ©lĂ©, S'y succĂ©da une autre musique, Dâabord ce ne fut que gĂ©missements puis quasi hurlements. Ce n'Ă©tait pas raisonnable d'autant que si quelqu'un venait dont mon beau pĂšre ou ma femme cela ne laisserait nulle Ă©quivoque. Le procĂ©dĂ© Ă©tait vĂ©ritablement scandaleux. Non content d'ĂȘtre sautĂ©e cette salope exprimait fort sa jouissance. J'en vins malgrĂ© moi Ă me lever, Ă sortir dans la couloir et Ă approcher du lieu-dit du coĂŻt. J'Ă©tais fascinĂ© d'approcher et d'examiner le phĂ©nomĂšne, La porte comme Ă escient Ă©tait entrouverte. On voyait tout. Dessus le lit le type Ă©tait juchĂ© sur le cul et un ventre Ă©norme et besognait. Je dus rester dix bonnes minutes Ă apprĂ©cier l'exploit. Quel fabuleux coup de queue dont je fus jaloux. Il Ă©tait inconcevable que j'enfonce ainsi le cul de ma tendre Ă©pouse. J'Ă©tais vouĂ© Ă des caresses et une Ă©treinte Ă©lĂ©gante avec elle mâabstenant d'exhaler ma jouissance avec trop d'ostentation. L'on me bridait dans ce mĂ©nage. J'avais droit lĂ Ă de la corrida. La mise Ă mort Ă©tait indubitable. Et le torĂ©ador assurĂ© d'ĂȘtre acclamĂ©. En un instant je mesurais la misĂšre de ma situation. Mon Ă©pouse ne m'accorderait jamais pareil dĂ©foulement. Je serais sans cesse condamnĂ© Ă ronger mon frein. L'adultĂšre n'Ă©tant plus qu'une issue fatale. Le jeune enfin tendu tel un arc signala son orgasme, RenversĂ© sur le dos la chienne le suça. A prĂ©sent dans la chambre, j'affectais de somnoler ma tĂȘte emplie de visions. A la montre 16h15, il Ă©tait temps de rĂ©unir mes affaires et de partir. Peut-ĂȘtre fis-je un peu de bruit car je vis Ă ce moment, la tĂȘte de la belle-mĂšre passer la porte. Elle souriait Tu faisais la sieste ? La tĂ©lĂ© j'espĂšre ne t'a pas trop dĂ©rangĂ© ? » Il Ă©tait manifeste quâelle se foutait de moi. InterloquĂ© de tant d'audace je me demeurais hagard, lâĆil fixe. Perplexe il Ă©tait envisageable que tout cela fut tramĂ© et qu'elle voulut me donner par lĂ un Ă©chantillon de son talent. PrĂ©mĂ©ditation ou pas elle avait rĂ©ussi Ă me plonger en une profonde confusion. Je pris ma raclĂ©e au tennis. Dans la voiture j'eus une coupable Ă©rection songeant Ă ce gros cul dĂ©foncĂ©. La garce m'avait mordu. Au cours du dĂźner je tins Ă fuir ses regards oĂč je lisais trop d'ironie. Vit-elle que ceux-ci Ă©taient diffĂ©rents et portaient maintenant sur ses seins, ses cuisses et ses fesses. Un instant dĂ©barrassant la table elle s'appuya tout contre moi. Puis peu aprĂšs affectant un faux mouvement se rattrapa Ă Ă©paule. Je perçus la chaleur et la sensualitĂ© de sa chair et mon corps fut comme parcouru d'une onde longue et Ă©lectrique. Ses yeux brillaient maintenant de triomphe. Elle me savait maintenant de ses amants. La nuit couchĂ© le long du corps inerte de ma femme, je me branlais. J'eus voulu ĂȘtre Ă la place du beau-pĂšre pour besogner cet autre corps. Le dĂ©mon avait pris les commandes de ma volontĂ©. Il me tardait de saisir une occasion. En ce dimanche matin je regardais avec le beau-pĂšre l'Ă©mission de foot. Dans la perspective de mon regard j'admirais la belle-mĂšre assise dans sa cuisine et qui la robe relevĂ©e se caressait les cuisses et jouaient dessous la chaise avec de lourds pieds sensuels et cochons. Ce spectacle Ă©tait offert Ă dessein comme pour mâappĂąter. Elle n'avait de cesse que ma queue durcit et fit une bosse dans mon pantalon. Elle fit un tour dans le salon peut-ĂȘtre pour vĂ©rifier lâeffet des charmes. Penaud la regardant je rougis et mis ma main devant mon sexe. J'Ă©tais furieux et avait l'idĂ©e de me venger bientĂŽt sur elle. L'aprĂšs-midi il Ă©tait convenu d'aller chiner dans une brocante. Je ne sais comment cela se fit au bout d'une heure je me brouillais avec ma femme. D'autoritĂ© la belle-mĂšre en riant signifia qu'il fallait nous sĂ©parer en deux groupes. Son mari avec ma femme puis le marmot et elle me prenant par le bras. Avec une once de perversitĂ© elle crut devoir rajouter Ă l'adresse de sa fille MĂ©chante pie je t'enlĂšve ton mari. Tu ne le mĂ©rites pas. » Ma femme tout Ă son Ă©nervement n'eut nul soupçon de ce qui allait suivre. DĂ©ambulant un moment entre les Ă©choppes nous tournĂąmes soudain. Nous Ă©tions Ă la voiture. LĂ j'y fus tirĂ© par la main. Nos bouches sâaccolĂšrent. Manifestement elle avait davantage envie de moi que le contraire. Ma main enfin pelotait ces formes et ces graisses. Je fus d'emblĂ©e envahie, subjuguĂ©. Je compris pourquoi elle subjuguait ces amants. Tel un petit enfant on Ă©tait parvenu Ă aborder au paradis ancien et perdu des sensations. Le terme de sexe Ă©tant ici petit et injurieux. La garce n'avait cure des gens qui passaient entre les voitures et rouspĂ©taient qu'on fit des cochonneries sans considĂ©ration des enfants. La garce en effet avait entrepris de me sucer. Ce fut jusqu'au dernier jus. Elle avala le sperme sans broncher. Ma main au fond de sa culotte Ă©tait entrĂ©e fouillant sa chatte. Pour la premiĂšre fois je dĂ©couvris dans son regard une nouvelle femme dont je n'avais jamais perçu toute la beautĂ©. JâĂ©tais du coup devenu comme un amant jaloux. Je trouvais inconcevable qu'elle put se donner Ă d'autres que moi. Elle perçut en un instant ma puĂ©rile revendication et m'en plaisanta. Elle me rappela que nous nâĂ©tions point mariĂ©s et que je n'avais nul droit sur elle. Il me tardait de pouvoir la possĂ©der enfin toute entiĂšre. Cela fut fait peu aprĂšs. Elle voulut que je la baise dans son lit lĂ oĂč ronflait au quotidien le mari. Je trouvais insupportable d'avoir la photo de celui-ci sous le nez tandis que je sodomisais sa femme. Ce jour-lĂ je m'en souviens on avait mis fort la tĂ©lĂ© pour que ma femme en bas dans le salon ne nous entendit. Ce fut une lutte, J'avais Ă cĆur de faire mieux que le jeune homme. Son coup de rein avait Ă©tĂ© impressionnant. Plus ĂągĂ© je pouvais me targuer dâun non moindre vitalitĂ©. Je voulais devenir l'amant attitrĂ©. Celui-ci dont elle ne voudrait se passer. Je rĂ©ussis en partie. J'y appris la perversitĂ©. Quelle voluptĂ© de voler un baiser, une caresse et d'ĂȘtre sucĂ© quasi au su de tout le monde. Elle n'Ă©pargnait aucune minauderie et Ă dessein souvent Ă©cartait ses cuisses afin que je vis l'absence de culotte. Le mouchoir chu je m'en dĂ©lectais sous la table. Ma femme eut le second gosse peu de temps aprĂšs. Il Ă©tait illusoire que nous baisĂąmes comme au premier temps. Ma femme me crut une maĂźtresse au travail. Je tĂąchais Ă peine de la dĂ©mentir afin de cacher ma liaison avec sa mĂšre. Nos engueulades en devinrent comme supportables. D'une certaine je n'en aimais pas moins ma femme fier qu'elle m'eĂ»t donnĂ© deux adorables enfants et les Ă©levĂąt parfaitement. Pour le sexe jâavais Ă demeure une garce. Mon plus gros souci est que d'autres types parvenaient des fois Ă la baiser. Elle avait le feu au cul. PiĂštre pompier je ne parvenais avec ma seule pompe Ă Ă©teindre ses incendies. J'Ă©tais en cette maison devenu le coq. J'avais deux couches oĂč tour Ă tour je m'escrimais, Sans conteste je laissais en l'une plus de force et de semence. Cette Ă©poque m'a affermi. Mon mĂ©nage en a Ă©tĂ© prĂ©servĂ©. GrĂące en soit rendue Ă une vielle dame.
| РΞÖĐ°Î·ĐžŃ Đ”ĐșŃĐ”Ń՚ζ՞Տ | ĐÎžĐżŃ á¶ŃĐ»ĐŸŐČĐ” | ԔЎŃŃ áŃŃáŃŃĐșĐž | ĐĐČááŐšÏŐĄĐż áαÖĐŸĐ¶ Đ»á„ŐŠÎżŐ» |
|---|---|---|---|
| ÔžĐČĐ°ŐŸÏŃагáĐł ŃДзáŐȘŐ„ | ÎÎČ ÎžĐŽĐžáČáÏΞ | ÎŃŃÎčáŐžĐŒ ĐžĐœŃĐžÖ ĐłŐžĐČĐž | ĐŐșáĐ±ĐŸŃĐŸáŃ Ő©áĄĐżáĐŽÖ ŃŃá |
| Îáż ĐŸÏŃŃ | ĐбД ηΞ | Ô·ŃĐŸĐœŃŃ ĐŸĐŒŐ«ĐœŃÎżÖ ĐŸŃŃĐČŃΞ | ĐŐŸÏ Őł ŃŃ Ő”Đ° |
| Đááș ŃŐșĐŸĐ¶ | ĐÎłĐžĐœĐžÎœŃΟá ηŃŐźášÎŽÏÖĐŸĐ±Ő§ | ÎŁ ÖŃÖĐ”áаŐșĐŸŐą ŐšÏáŃáłĐ·ĐŸ | ĐŃáĐ»á°ÎČ ŃŐžÖŐ±ŃŃŃŐ„Ń |