Trouvezvous de meilleur mon grand-pÚre et moi ? Il est temps de passer aux choses sérieuses avec notre test et comparatif. Skip to content. Menu. HOME; à PROPOS; Top 10 Meilleur Mon Grand-PÚre Et Moi Test Et Comparatif. Trouvez-vous de meilleur mon grand-pÚre et moi 2022? Il est temps de passer aux choses sérieuses avec notre test et comparatif. Nous avons
Nous accueillons aujourdâhui sur le blog Entre nous et nos AncĂȘtres AndrĂ© PERRET. Il nous a fait le rĂ©cit de la vie dâun de ses ancĂȘtres, qui nous a particuliĂšrement touchĂ©s. Cette histoire est effet celle de bien des hommes et femmes du XXe siĂšcle, marquĂ©e, comme rythmĂ©e par les deux Guerres mondiales. Elle est surtout un exemple de ces lĂ©gendes, rumeurs et on-dit si frĂ©quents dans nos familles, mais ici particuliĂšrement tragiques. Et cette histoire, nous souhaitons la partager avec vous. Mais laissons dâabord AndrĂ© se prĂ©senter. Entre nous et nos AncĂȘtres pouvez-vous nous dire quelques mots sur vous, et ce qui vous a amenĂ© Ă vous intĂ©resser Ă lâhistoire de votre famille et Ă la gĂ©nĂ©alogie ? AndrĂ© Jâai 61 ans cette annĂ©e, je dirige une sociĂ©tĂ© de formation au management sur Paris. Jâai 4 enfants, et je supportais assez mal dâavoir des trous » dans lâhistoire de la famille, dâautant quâils Ă©taient assez rĂ©cents. Câest en cherchant Ă combler ces lacunes que je me suis pris au jeu et que je suis remontĂ© en parfait amateur au XVIIe siĂšcle⊠Cela devient vite une addiction ! Entre nous et nos AncĂȘtres quel personnage familial souhaitez-vous Ă©voquer aujourdâhui, et quâest-ce qui vous a amenĂ© Ă vous intĂ©resser Ă lui ? AndrĂ© Il sâagit de Jean-Baptiste Louis PERRET, mon grand-pĂšre paternel, que je nâai pas connu. TrĂšs tĂŽt, ce personnage mâa interpellĂ©, malgrĂ© le peu dâinformations dont je disposais sur lui â ou peut-ĂȘtre justement Ă cause de ce silence qui lâentourait dans la famille. Et certainement aussi par provocation. Ce grand-pĂšre, dont on disait quâil Ă©tait volage, me faisait rĂȘver⊠Laissons maintenant AndrĂ© nous conter lâhistoire de Jean-Baptiste Louis PERRET. Longtemps, je nâai possĂ©dĂ© quâune photo de ce grand-pĂšre dont personne ne voulait parler dans la famille. Par ma mĂšre, je savais quâil Ă©tait sĂ©duisant, et que les petites Caminelle » en Ă©taient amoureuses ». Et par ses fils, Pierre lâaĂźnĂ©, mon pĂšre, et Jean le cadet, jâai appris quâil avait abandonnĂ© sa famille pendant la guerre, alors mĂȘme quâeux deux Ă©taient prisonniers. Deux fils qui ne lui ont jamais pardonnĂ©. Pourtant, je ne peux nier mon attachement Ă ce grand-pĂšre fantasque, quâon a volontiers dit volage. Voici en quelques mots son portrait. Jean-Baptiste Louis PERRET, rĂ©ussite sociale et dĂ©chĂ©ance familiale Jean-Baptiste Louis PERRET, dit Louis, naĂźt le 11 juillet 1887 Ă Besson dans lâAllier ; il est issu dâun milieu agricole modeste. Sa naissance dĂ©jĂ suscite des rumeurs familiales » on dit quâil serait peut-ĂȘtre le fils du curĂ© du village⊠Il obtient en 1908 Ă Montpellier le diplĂŽme dâIngĂ©nieur agronome, tremplin dâune rĂ©elle ascendance sociale. Il entame ensuite une carriĂšre dâenseignant dans des Ă©tablissements agricoles, en Bourgogne puis dans le Nivernais. Il Ă©pouse en 1911 Ă Cusset Allier ma grand-mĂšre Yvonne VIGNOT. De cette union naĂźtront Pierre 1912, Jeanne 1914 et Jean 1915. Mais dĂ©jĂ , les canons grondent, et Jean-Baptiste Louis est mobilisĂ© dĂšs 1914. En 1918, il disparaĂźt. Une premiĂšre fois. Je perds ensuite sa trace, jusquâau milieu des annĂ©es 1930, pĂ©riode Ă laquelle il sâinstalle avec sa famille Ă Namur en Belgique. Il prend alors la direction de la sociĂ©tĂ© Hydrocar, un fabricant de revĂȘtement routier sociĂ©tĂ© qui existe toujours. Sâen suivra une brĂšve collaboration avec ses deux fils, quâil fait venir Ă Namur. Mais Pierre et Jean peinent Ă sâentendre avec leur pĂšre, et repartent en France. En 1914, Jean-Baptiste Louis est mobilisĂ© comme caporal-fourrier au 295Ăšme RĂ©giment dâInfanterie. PortĂ© disparu Ă Cuvilly Oise aprĂšs lâoffensive allemande du 9 juin 1918, il est retrouvĂ© prisonnier en Allemagne oĂč il est passĂ© par les camps de Kassel, Crossen-sur-Oder et Cottbus. Il est rapatriĂ© aprĂšs lâArmistice le 20 dĂ©cembre 1918. Jean-Baptiste Louis est quant Ă lui la coqueluche des filles de la famille, quâil charme par son train de vie, sa voiture, les cadeaux quâil leur offre⊠Cette parenthĂšse belge sera importante pour la postĂ©ritĂ© familiale, puisque câest Ă Namur que Pierre, mon pĂšre, rencontre celle qui allait devenir sa femme. Suzanne est la fille dâĂdouard CAMINELLE, banquier de Jean- Baptiste Louis et de la sociĂ©tĂ© Hydrocar. En 1940, alors que les Allemands entrent en Belgique, Jean-Baptiste Louis dĂ©cide de rapatrier tout sa famille en Zone Libre, Ă Cusset prĂšs de Vichy. Sa motivation â dit-on â Ă©tait alors de mettre la trĂ©sorerie de lâentreprise Ă lâabri des Allemands. Je ne dispose pas dâinformations sur sa vie pendant la guerre, mais Ă cette Ă©poque on le dit assez volage. Ă la fin de la guerre en 1945, Jean-Baptiste Louis ne rejoint pas la maison familiale, laissant sa femme seule, alors que ses deux fils sont prisonniers en Allemagne. La rumeur familiale dit quâil vivrait avec une jeune pharmacienne namuroise, et quâil voudrait partir Ă lâĂ©tranger⊠DeuxiĂšme disparition. Quelques annĂ©es plus tard, lors de lâentrĂ©e en maison de retraite dâYvonne ma grand-mĂšre, il a fallu vendre la maison familiale de Cusset. LĂ , jâai dĂ©couvert quâils nâavaient jamais divorcĂ© ! Nous avons donc Ă©tĂ© dans lâobligation de faire une requĂȘte en sĂ©paration suite Ă abandon du domicile conjugal. Lâofficialisation de la dĂ©chĂ©ance familiale de Jean-Baptiste Louis PERRET. Mais un Ă©change avec un ami dont lâĂ©pouse est gĂ©nĂ©alogiste va faire taire toutes les anciennes rumeurs familiales. Je lui parle de ce grand-pĂšre disparu et dont je ne trouve pas trace, et il me propose de lui communiquer Ă tout hasard les informations dont je dispose, ses date et lieu de naissance. Le soir mĂȘme il mâappelle et me dit que je vais avoir des surprises, en Ă©coutant le rĂ©cit de sa femme⊠Jean-Baptiste Louis PERRET, dĂ©portĂ© dans le convoi des tatouĂ©s » Les baraques du camp de Royallieu Jean-Baptiste Louis est arrĂȘtĂ© par les Allemands au mois de janvier 1944. Sans doute faisait-il partie du Mouvement de LibĂ©ration Nationale MLN. En avril, il est Ă CompiĂšgne, au camp de Royallieu, sous le matricule 29603. Le 27 avril 1944, il est dĂ©portĂ© vers Auschwitz dans un convoi Ă 100 par wagon Ă bestiaux. Le train mettra quatre jours et trois nuits Ă atteindre sa destination. Ce convoi a suscitĂ© les interrogations des historiens notamment concernant sa destination, parce quâil sâagit du troisiĂšme convoi de dĂ©portĂ©s non-juifs envoyĂ©s directement vers ce camp de la mort. Il restera tristement cĂ©lĂšbre, sous le nom de Convoi des TatouĂ©s ». Jean-Baptiste Louis fait donc parti des 1655 dĂ©tenus qui seront immatriculĂ©s Ă leur arrivĂ©e Ă Auschwitz-Birkenau, des numĂ©ros 184936 Ă 186590. Lui portait le numĂ©ro 186203. Câest ce tatouage, sur le bras gauche, qui vaudra au convoi son appellation. Jean-Baptiste Louis ne sĂ©journera que deux semaines Ă Auschwitz, dans le camp Canada », avec sans doute, aprĂšs lâhumiliation du tatouage, de la fouille, de la tonte et de la dĂ©sinfectionâŠ, de terribles conditions de vie â lâadministration allemande effacera » dâailleurs ce transit, comme sâil nâavait existĂ©. Le 12 mai, avec 1560 autres dĂ©portĂ©s et Ă 60 par wagon, il repart dans un nouveau convoi vers le KL Buchenwald cette fois, Ă une dizaine de kilomĂštres de Weimar. Il y reçoit un nouveau matricule, le 53345. Vue d'ensemble du petit camp de Buchenwald - collection Foucher-Creteau Insignes des prisonniers du KL de Buchenwald - matricule de Pierre MALLEZ Contrairement Ă dâautres dĂ©portĂ©s renvoyĂ©s ensuite dans dâautres camps, aprĂšs son passage au camp de quarantaine il monte au grand camp. Il reste au camp central sans doute en raison de son Ăąge, 57 ans alors. Il semble en effet que la plupart des dĂ©portĂ©s ĂągĂ©s ou diminuĂ©s physiquement nâaient pas Ă©tĂ© envoyĂ©s dans les Kommandos de travail. Je ne sais pourquoi ni comment il a survĂ©cu jusquâĂ ce dĂ©but dâannĂ©e 1945. Je ne peux quâimaginer son quotidien difficile. Les renseignements fournis par lâassociation pour la mĂ©moire de Buchenwald laissent entendre quâil aurait Ă©tĂ© fusillĂ©. Du Convoi des TatouĂ©s, Ă peine un homme sur deux rentrera de dĂ©portation. Mon grand-pĂšre ne fait pas partie de ceux-lĂ . Selon le livre mĂ©morial de la Fondation pour la MĂ©moire de la DĂ©portation, Jean-Baptiste Louis PERRET dĂ©cĂšde le 24 fĂ©vrier 1945 Ă Buchenwald. Son dĂ©cĂšs nâest transcrit ni Ă lâĂtat-Civil de Besson son village natal oĂč je lâai cherchĂ© en vain, ni au Journal Officiel de la RĂ©publique française. Mais son nom apparaĂźt depuis 2010 sur une plaque commĂ©morative posĂ©e en mĂ©moire des dĂ©portĂ©s de la commune de Besson Allier. DâaprĂšs le rĂ©cit dâAndrĂ© PERRET, fils de Pierre, et petit-fils de Jean-Baptiste Louis. Entre nous et nos AncĂȘtres Quelle a Ă©tĂ© votre rĂ©action Ă cette dĂ©couverte, qui met fin aux rumeurs familiales autour de lâabandon de sa famille par un Ă©poux et pĂšre ? AndrĂ© Un regret que ni son Ă©pouse, ni aucun de ses enfants â dont mon pĂšre â nâaient su la vĂ©ritĂ© avant de mourir. Un regret doublĂ© dâincomprĂ©hension⊠Pourquoi sa famille nâa-t-elle jamais Ă©tĂ© informĂ©e ni de son arrestation ni de son dĂ©cĂšs, et notamment aprĂšs la libĂ©ration du camp ? Pourquoi sa femme, qui travaillait pour le gouvernement de Vichy mais dont on a su aprĂšs sa mort quâelle transmettait des documents Ă Londres, nâa-t-elle jamais Ă©tĂ© informĂ©e ? Entre nous et nos AncĂȘtres Cette dĂ©couverte met-elle fin Ă vos recherches ? AndrĂ© Non. La vie peu banale de ce grand-pĂšre quitte la petite histoire pour la grande ; je voudrais donc maintenant en dĂ©couvrir plus sur son parcours atypique. Et je me pose de nombreuses questions. Il me manque des informations sur son parcours professionnel, et donc la motivation de son expatriation en Belgique. Puis, pendant la guerre, quel a Ă©tĂ© son engagement dans la rĂ©sistance ? Pourquoi le statut de dĂ©portĂ© ne lui est pas attribuĂ© par les autoritĂ©s françaises ? Sur une photo, on semble apercevoir lâOrdre du MĂ©rite Ă son revers, Ă quelle occasion cette distinction lui aurait-elle Ă©tĂ© attribuĂ©e ? Je vais donc continuer Ă arpenter les ministĂšres et fouiller les archives sur les traces de Jean-Baptiste Louis PERRET. Si vous souhaitez rĂ©agir Ă cette histoire, ou contacter AndrĂ©, nâhĂ©sitez pas Ă laisser un commentaire ou nous contacter Ă admin[Ă ] Nous lui transmettrons votre message. Biographie et arbre gĂ©nĂ©alogique de Jean-Baptiste Louis PERRET 1887-1945 Enfance auvergnate, Ă©tudes dans le sud et ascension sociale 11/07/1887 Naissance dans la maison familiale aux Rouyaux, dans la commune de Besson, Allier 03. Ses parents sont Jean, et Louise nĂ©e SĂQUE, cultivateurs. 12/05/1908 Ătudes supĂ©rieures, Ă lâĂcole Nationale dâAgriculture de Montpellier. Obtient le diplĂŽme dâIngĂ©nieur agronome en 1908. 1911 Professeur de français en Bourgogne Ă lâĂ©cole dâagriculture La Barotte », ChĂątillon-sur-Seine 21. [source Recensement 1911] Un mariage et deux enfants 12/09/1911 Ăpouse Yvonne Gilberte VIGNOT Ă Cusset 03. 16/06/1912 Naissance dâun premier fils, Pierre, Ă Cusset 03. 1913-1915 Professeur dans le Nivernais, Ă lâĂcole dâagriculture de Corbigny 58. 1914 Vend des assurances pour la SociĂ©tĂ© Française de Capitalisation. 07/01/1914 Naissance de sa fille Jeanne, dite Jeannette, Ă Cusset 03. Dans la Grande Guerre, premiĂšre disparition et deuxiĂšme fils 1914 MobilisĂ© comme Caporal-fourrier au 295Ăšme RĂ©giment dâInfanterie. 04/03/1915 Naissance, en son absence, dâun second fils, Jean, Ă Cusset 03. 09/06/1918 PortĂ© disparu Ă Cuvilly 60 aprĂšs lâoffensive allemande. Il est retrouvĂ© prisonnier en Allemagne oĂč il est passĂ© par les camps de Kassel, Crossen-sur-Oder et Cottbus. 20/12/1918 Il est rapatriĂ©, aprĂšs lâArmistice. Lâexpatriation en Belgique 1936 Part en Belgique, prĂšs de Namur, oĂč il prend la direction de la sociĂ©tĂ© Hydrocar. Marie son fils ainĂ© Pierre Ă Suzanne CAMINELLE, fille du banquier de lâentreprise, et sa fille Jeannette Ă Ădouard, fils du mĂȘme banquier. 1938 Touche la retraite du combattant. Encore une guerre, deuxiĂšme disparition en fait la dĂ©portation 1940 Rapatrie toute la famille Ă Cusset prĂšs de Vichy 03, en Zone Libre. 1940-1944 Appartient peut-ĂȘtre au Mouvement de LibĂ©ration Nationale MLN. 01/1944 Est arrĂȘtĂ©, puis internĂ© Ă CompiĂšgne au camp de Royallieu, sous le matricule 29603. [source BAVCC] 27/04/1944 DĂ©portation vers Auschwitz, dans un convoi qui sera plus tard nommĂ© le train des tatouĂ©s », arrivĂ©e le 30/04/1944. Il est tatouĂ© sur lâavant-bras gauche du numĂ©ro 186203. 14/05/1944 DĂ©part le 12/05 dans un convoi avec 1561 dĂ©portĂ©s, en direction de Buchenwald, oĂč il arrive le 14 au matin. DĂ©sinfection puis tatouage. Jean-Baptiste Louis portera le numĂ©ro 53345. 24/02/1945 Mort Ă lâĂąge de 57 ans de Jean-Baptiste Louis Ă Buchenwald [source Livre mĂ©morial de la Fondation pour la MĂ©moire de la DĂ©portation], sans doute fusillĂ© [source Association pour la MĂ©moire de Buchenwald]. Arbre gĂ©nĂ©alogique partiel de Jean-Baptiste Louis PERRET 1887-1945 Cliquez sur lâarbre pour lâagrandir. Quelques liens Fondation pour la MĂ©moire de la DĂ©portation Amis de la Fondation pour la MĂ©moire de la DĂ©portation de lâAllier Amicale des DĂ©portĂ©s TatouĂ©s du 27 avril 1944 MĂ©morial de lâinternement et de la dĂ©portation â Camp de Royallieu La citation Celui qui est affectionnĂ© pour quelquâun vĂ©nĂšre aussi les choses que cette personne a laissĂ©es dâelle-mĂȘme aprĂšs sa mort » Saint-Thomas dâAquin Vous serez peut-ĂȘtre aussi intĂ©ressĂ©e par les articles suivantsLaMĂ©moire de mon pĂšre Patrick Zachmann France, 1991, 31 min / Couleur . Synopsis. Patrick Zachmann a derriĂšre lui une Ćuvre photographique importante quand il aborde le cinĂ©ma. En 1991, il choisit le film pour accĂ©der enfin Ă une vĂ©ritĂ©, la vĂ©ritĂ© de son histoire familiale, sur laquelle son pĂšre juif, fils de dĂ©portĂ©, garde le silence depuis toujours. Patrick Zachmann a
RĂ©digĂ© par Alan Ă 11h le 11 novembre 2017 A la mĂ©moire d'Allen Latter, mon arriĂšre-grand-pĂšre, mort pour la libertĂ© en France il y a 100 ans le 5 avril 1917 pendant la PremiĂšre Guerre mondiale. Allen Latter est nĂ© en 1880 Ă Croydon dans le Surrey et il a deux enfants et il a Ă©tĂ© pĂątissiĂšre. En 1916 il a Ă©tĂ© neccesaire de mobiliser des 'hommes plus ĂągĂ©s donc il a Ă©tĂ© envoyĂ© au Front ĂągĂ© de 36 avec le 12e Bataillon de l'East Surrey Regiment. Jusque avant le debut de la bataille d'Arras le 5 avril 1917 il a Ă©tĂ© de patrouille le long des tranchĂ©es avec trois camrades quand tout les quatre ont Ă©tĂ© fusillĂ©s par les Allemands. Ils ont enterrĂ© Ă la cimetiĂšre militaire Dickebusch en Belgique oĂč le Commonwealth War Graves Commission entretient les pierre tombales. Pierre tombale d'Allen Latter de l'East Surrey Regiment CimetiĂšre Militaire de Dickebusch, 5 km au sud-ouest d'Ypres Photo prise par mon cousin amĂ©ricain lors de sa visite en Europe cette annĂ©eLamĂ©moire de mon pĂšre de Jean-François Martinez - Collection Histoires & DestinĂ©es - Livraison gratuite Ă 0,01⏠dĂšs 35⏠d'achat - Librairie Decitre votre prochain livre est lĂ Apparemment, javascript est dĂ©sactivĂ© sur votre navigateur. Vous ĂȘtes ici m. wilson, mĂ©moire de mon grand-pĂšre... Compagnie La BobĂȘche En famille AccĂšs malentendants Théùtre M. Wilson, mĂ©moire de mon grand-pĂšre en 81 objets Une libre adaptation de lâalbum de Thomas Scotto. LâHistoire... Une rue, un jour de brocante, chacun vide son grenier. La maison du vieux M. Wilson, au numĂ©ro 6, dĂ©borde... Depuis la mort de sa femme, il nâa rien touchĂ© Chagrin et propretĂ© ne font pas bon mĂ©nage ! ». Mais M. Wilson a aussi et surtout la mĂ©moire pleine. Trop pleine. Ce jour-lĂ , il dĂ©cide donc de vendre ses souvenirs... La mĂ©moire est fragile, prĂ©cieuse. Dans une sociĂ©tĂ© oĂč les vieux sont cachĂ©s et nâont plus la parole, Ă une Ă©poque oĂč lâoubli se gĂ©nĂ©ralise, ce spectacle parle de cette transmission intergĂ©nĂ©rationnelle qui nous construit. Connaitre notre histoire familiale nous permet de grandir fort de notre passĂ©... ou au contraire, de couper nos racines pour aller semer ailleurs et grandir 22 fĂ©vrier Stage intergĂ©nĂ©rationnel bilingue français/LSF au MusĂ©e Vesunna> Plus d'infos !> Bulletin de rĂ©servation > Dossier pĂ©dagogique Bord de scĂšne bilingue français/LSF, Ă lâissue de la reprĂ©sentation.> Pour les enfants de 3 Ă 7 ans, nous organisons une garderie-crĂ©ative. > SĂ©ances scolaires Jeudi 20 fĂ©vrier Ă 10h et 14h30 et vendredi 21 fĂ©vrier Ă 10h. Retour Ă la page spectacles 2023
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M. Wilson MĂ©moire de mon grand-pĂšre en 81 objets Spectacle bilingue français/LSF DâaprĂšs une libre adaptation de Thomas Scotto DurĂ©e 55 minutesTout public Ă partir de 7 ansJauge 200 personnes Une rue, un jour de brocante. Chacun vide son grenier. La maison du vieux M. Wilson, au numĂ©ro 6, dĂ©borde⊠Depuis la mort de sa femme, il nâa rien touchĂ© Chagrin et propretĂ© ne font pas bon mĂ©nage ! »Mais M. Wilson a aussi et surtout la mĂ©moire pleine. Trop pleine. Ce jour lĂ , il dĂ©cide donc de vendre ses souvenirs⊠Il sâagit de raconter lâhistoire dâun vieux qui vend ses souvenirs un jour de brocante⊠Il sâagit de dire quâau moment oĂč il vend ses souvenirs, câest la mĂ©moire familiale toute entiĂšre qui sâefface⊠et peut-ĂȘtre bien plus encore. Les histoires des personnes ĂągĂ©es me touchent. MĂȘme si parfois ça tourne pas rond et en rond, ils ont beaucoup Ă transmettre. La mĂ©moire est fragile, prĂ©cieuse. Dans une sociĂ©tĂ© oĂč les vieux sont cachĂ©s » et nâont plus la parole, Ă une Ă©poque oĂč lâoubli se gĂ©nĂ©ralise, jâai envie de parler de cette transmission intergĂ©nĂ©rationnelle car elle nous construit. Connaitre notre histoire familiale nous permet de grandir fort de notre passé⊠ou au contraire de couper nos racines pour aller semer ailleurs et grandir autrement. Avec ou contre, grĂące ou malgrĂ© quoiquâil en soit, nous nous construisons en fonction de cette petite histoire » qui est la notre. Note dâintention Mathilde Henry â Metteuse en scĂšne. Les gestes sont gais, la musique nous entraine, le public sâinstalle, la lumiĂšre sâĂ©teint et puis⊠La poĂ©sie. PoĂ©sie des gestes, des couleurs, des mots, des signes, des objets câest avec tout cela que nous crĂ©ons des mondes pour raconter cette histoire au public⊠Il y aura du faux, il y aura du vrai ! Mon grand-pĂšre ne mâa jamais racontĂ© dâhistoire⊠LâĂ©quipe de Adaptation Mathilde HENRY Co-mise en sceÌne Mathilde HENRY et Fabio-Ezechiele SFORZINI Avec Mathilde HENRY, Emilie RIGAUD et Gilles STROCH Musique et canon de signes Gilles STROCHCrĂ©ation musicale Gilles STROCHAdaptation, traduction et creÌation LSF Emilie RIGAUD, Mathilde HENRY, Gilles STROCH, Fabio-Ezechiele SFORZINI, Sophie SCHEIDTCrĂ©ation lumiĂšre Enzo GIORDANAConstruction marionnettes Mathilde HENRY accompagneÌe par Jo SMITHScĂ©nographie Mathilde HENRYAffiche, photos et visuels Sofie SFORZINIDiffusion Justine SWYGEDAUW MARTINEZ Entrevue avec l'auteur Lire la vidĂ©o Lire la vidĂ©o
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